ABDOURAMANE ATJI
“In a digital world, citizens must be able to present themselves digitally”
“In a knowledge economy knowledge workers need personal knowledge management tools” En citant repectivement Anne Gilleran, (EUN) et Serge Ravet (EifEL), je réalise ce portfolio pour me plonger dans un activité réflexive à l’instar de ma réflexion sur ma biographie langagière. Il met l’accent sur mon apprentissage tout au long de la vie. Je suis engagé sur le terrain des nouvelles technologies de l’information et de la communication depuis 2000 et mes premiers contacts avec les FOAD et remontent à 2006 avec la formation au Microprogramme d’intégration des TIC en éducation. Aujourd’hui le Master 2 Professionnel AIGEME totalement enseigné à distance à la Sorbonne Nouvelle Paris 3, m’offre l’occasion de mener une pensée critique et réflexive de mon apprentissage et de mes expériences en FOAD.
Aujourd’hui l’enseignement en général et l’enseignement universitaire en particulier permutent vers un contexte de mutation du rapport au savoir. Il pénètre à grands pas dans le paradigme du numérique, de l’Internet et de l’ e-formation. Je suis engagé sur le terrain de la e-formation car les TIC, de manière évidente aident les étudiants à apprendre « en facilitant, au sein d’un répertoire plus varié des modes d’enseignement et d’apprentissage, la flexibilité, l’accessibilité, la communication et les interactions. Les FOAD sont susceptibles de relever beaucoup de défis comme la formation, le motivation et la fréquence des abondons.
Du Master 1 en intégration des TIC en éducation d’une part, au Master 2 AIGEME spécialité Ingénierie de la formation à distance en sciences humaines, l’opportunité s’offre à moi pour renforcer des acquis et acquérir de nouvelles compétences dans le domaine des FOAD.
Dans ce portfolio je présente d’une part des articles se rapportant à mes expériences antérieures dans le domaine des FOAD et d’autre part il met l’accent sur mes pratiques dans cette formation au Master 2 professionnel sans oublier les compétences acquises pour renforcer mes capacités sur le terrain de la e-formation.
Le eportfolio suscite la motivation à réaliser des oeuvres personnelles. Il peut alors intéresser le public proche de l’auteur d’une part et d’autre part la communauté éducative et surtout l’institution pour laquelle il travaille. Tout ce beau monde va émettre des critiques pertinentes pour améliorer le travail abattu. C’est dire que le e-portfolio est loin d’être seulement un travail réflexif, il constitue aussi un travail d’évaluation par les autres et d’auto-évaluation par soi-même.
Cet apprentissage réflexif est une expérience permettant de valoriser mon parcours professionnel pour le rendre plus significatif et plus changeant par la participation de la communauté de partage. Il est pour ce faire doué de mouvement dans la mesure où il appartient à un entrecroisement de personnes, « un réseau social persistant et actif d’individus qui partagent et développent un fonds de connaissances, un ensemble de croyance, de valeurs, une histoire et des expériences concentrées sur une pratique commune et/ou une entreprise commune ». Ils proposent un ensemble de cas pratiques dans lesquels « pratique réflexive » et « communautés » se côtoient dans le but d’améliorer les compétences professionnelles.
Une série de questions me viennent en tête :
- Mes compétences sont-elles bien décrites dans cet portfolio numérique ?
- Le contenu de mon identité numérique reflète-t-il les progrès accomplis dans l’appropriation des connaissances
- Quels ont été mes succès et mes difficultés?
- Quelles sont mes perspectives ?
Mon e-portfolio 